Je ne fêterai plus mes anniversaires

Jusqu’à il y a peu de temps, mon année s’organisait autour de deux évènements majeurs, le 24 décembre et le 23 mars. Seulement, depuis 3 ans maintenant, ce n’est plus vraiment la même chose.

Loin de moins la nostalgie de la jeunesse ou cette peur de grandir, ça je pense que ça arrivera d’ici deux petites années. Le problème est bien plus égoïste, bien plus puéril. En fait, pendant 3-4 ans, j’ai goutté à ce qu’était un vrai anniversaire. Un anniversaire comme quand on était enfant, que notre maman cuisinait notre plat préféré et que c’était plus ou moins le jour où on avait tous les droits.

Je vous passe l’épisode de mes 20 ans et celle de mes 21 ans pour aller direct à la case 22 ! 22 ans, quelques jours après le début de ce blog. 22 ans fêtés aux Pays-Bas, avec des gens incroyables, mais aussi ces deux copines. Ces deux copines qui entre nous, je ne connaissais pas tant que ça, mais qui ont été les seules à faire le périple pour me voir. Je dois dire que j’étais contente d’avoir des « têtes connues » autour de moi ce jour là, mais j’ai aussi vite compris que ce n’était pas que pour moi qu’elles étaient venues. Ce fût donc opération tourisme, shopping et tout ce que tu veux. Pas vraiment de cadeau, et sans ma Ammie d’amour, je me serais aussi passer du gâteau. C’est tout de même un bon souvenir bien sûr, mais pas vraiment ce que j’attendais.

Et aujourd’hui ? Aujourd’hui j’ai eu 23 ans. Et pour cette fabuleuse occasion, ma mère avait décidé de venir passer le week-end chez moi, à Montpellier. Quand je dis ma mère, ça comprend bien sûr aussi beau-papa. Peu importe que j’en ai eu envie ou pas, que je sois crevée ou pas, que j’ai des travaux à rendre ou pas. Vendredi, à peine débarquée de Paname, nous nous retrouvons sur le quai de la gare. Et là, ce fût le début de ce que je pense être l’un de mes pires week-ends d’anniversaire.

Ce n’est pas faute d’avoir prévenu ma mère sur mes craintes à l’égard de ce week-end en trio dans 30m2. Entre nous, j’aurais pissé dans un violon, ça aurait été pareil !!! J’eus quand même gain de cause pour le choix de visite du samedi. Direction Carcassonne. Je suis HS, on se pèle le cul, mais vamos ! Et en plus c’est bibi qui conduit. Je ne me plains pas trop jusque là. Viens l’heure du repas et là j’ai le droit à la petite remarque qui va bien de la part de beau-papa, adressé à ma mère, mais clairement audible par mes petites oreilles  » tu te rends compte, ce week end pas de kékette ! » Euh, merci pour ces douces paroles, et entre nous j’aurais pu en dire autant ! Moi aussi j’avais peut-être envie de prendre mon pied pour le week end de mon anniv, non ?

Passons ! Prochaine étape, le repas ! Moi qui m’imaginait prendre 10kgs pendant ce week-end, je n’avais nulle crainte à avoir. Après m’être fait remarquée parce que « Merde quoi tu n’as pas de sucre?! » Ben non je suis étudiante, j’ai donc un budget d’étudiante malgré mon « gros salaire » qui est surtout accompagné d’un « gros loyer » et d’un « petit réservoir Essence », donc je ne sucre pas, donc je n’achète pas de sucre ! CQFD !

Enfin bon, revenons à nos moutons. L’heure du repas. Moi qui me voyait enfin goûter le premier cassoulet de m vie, nous voilà avec un micro sandwich chacun et une barquette de frites à partager ! Hum, quel festin !

Bon, je n’avais pas très faim et pensais au super resto du soir. J’avais déjà ma petite préférence mais étais prête à faire une concession de plus en choisissant le choix de beau-papa.

Je n’ai même pas fait de caprice alors que nous quittions Carcassonne sans avoir visité le fameuse Maison Hantée.

Nous voilà repartis après 5 bonnes heures dans le froid, à marcher, etc…

Et dans la voiture retour, après un petit somme, j’entends mon cher beau-papa proposer, voire décider, que ce soir ce ne serait pas resto. Trop fatigué par le chemin retour et aussi par peur de se ruiner, ce sera pizza à la maison. Ahah, la blague. Bon, en usant des coudes, j’eus droit finalement à des sushis. Sushis que je paya de ma poche, chose que j’aurais surement faite aussi, au resto !

Sushis ok, manque plus qu’à choisir le programme TV. Déjà bien énervée, j’exprime à peine mon avis et les fous devant la 5, en allant tenter de me noyer dans mon bain. Ma tentative échoua et je regrettais presque d’avoir finalement pilé dans cette intersection le matin même. Avec 30 secondes de plus, qui sait, je n’aurais peut-être jamais eu 23 ans…

Je ne parle même pas du fait d’avoir partagé la dernière nuit de mes 22 ans avec ma mère… Alors que beau papa avait décrété (avant de roupiller bruyamment) qu’on ferait la grasse mat’, à 8h30 tout le monde debout ! Youpi !

Petit dèj en famille, youpi bis, et après la distribution des cadeaux, ils commencèrent soudain à faire le ménage alors que j’essayais en vain de dompter ma chevelure. Mais merde quoi ! Qui est chez qui ? Le matin ils préparaient le petit déj, ils faisaient la vaisselle, et voilà que maintenant ils passaient presque l’aspi ! Malgré notre conversation d’il y a une semaine à peine, visiblement, même chez moi je ne suis pas capable de faire, de prendre des décisions, rien quoi ! Mais sinon, toute la journée elle me répète que je suis une fille en or, dégourdie, etc…

Puis nous nous en allions visiter ce petit village paumé, qu’ils avaient de toutes façons décidé de visiter depuis des mois. Et mon envie ? On s’en bat clairement les couilles ! Voilà, ce week-end s’est clairement passé comme je l’avais imaginé ! On a fait ce qu’ils voulaient, comme ils le voulaient. Et dans ma tête je me suis dit « Et comment ça se passe alors quand c’est son anniversaire à lui ? » Bon oui je l’aurai eu mon resto hein, dans ce village très joli, mais très perdu. Moi qui me voyait leur faire découvrir ma nouvelle ville, ma nouvelle ville, que je me le mette bien dans la tête, ils s’en branlent !

Maman si seulement tu pouvais lire ce post ! Tu t’en remettrais pas mais au moins peut-être que tu prendrais conscience un peu des choses.

Alors oui je sais que ma mère est de loin une très bonne mère, elle m’a bien éduqué, etc, mais aujourd’hui c’est une femme, une compagne et tout ce que vous voulez d’autres avant d’être une mère. C’est bien, je suis contente pour elle, mais moi qui me projetait presque repartir en vacances que toutes les 2 cet été, ce n’est clairement pas une bonne idée.

Alors l’an prochain, où que je sois, je vous en prie, laissez moi SEULE ! Parce que si c’est venir jouer les touristes juste ce jour là, non merci !

Je crois que c’est l’un des pires anniversaires de ma vie. En fait j’avais oublié que dans ma famille, les anniversaires ce n’était pas comme dans la sienne, non dans la mienne, je ne suis clairement ni la star de la journée, ni même la priorité ! Alors peut-être même que des anniversaires, il n’y en aura plus. Parce que oui j’ai eu des cadeaux (pas emballées) et le gâteau, ben je le cherche encore …

Le seul petit espoir pour sauver cette journée, c’est celui qui est censé arriver là, bientôt alors que je vous parle. Lui en qui je n’aurais jamais cru mettre tous mes espoirs ce soir, lui qui est surement le seul à vraiment avoir eu envie de passer cette journée avec moi.

Voilà, 23 ans et le blog s’arrêtera surement là, ou peut-être au post suivant.

En attendant, je pense sérieusement m’en aller loin et couper complètement les ponts avec ma mère pendant un petit laps de temps, afin de pouvoir un jour ressentir encore ce sentiment de bonheur juste en étant à ses côtés.

Une journée chez IBM

Il y a des boîtes comme ça dans lesquelles on rêve tous de mettre les pieds un jour. Hier, ma promo et moi avons eu la chance d’entrer dans l’une d’entre elles, IBM.

Au fond je ne sais pas trop ce que je voulais vous dire à propos de cette journée un peu spéciale, mais j’avais le sentiment qu’il fallait que j’en parle.

J’ai pu un peu réfléchir pendant les heures passées là-bas et j’ai pu en conclure qu’une fois de plus, les IT ne sont pas vraiment un hasard dans ma vie. A vrai dire je me vois tellement plus dans une boîte de ce genre que dans une de services ou de santé, comme celles que j’ai pu voir avant.

Quand j’y repense, ma meilleure expérience pro dans mon domaine a certainement été la toute première, chez Toshiba, et à plus ou moins grande échelle, IBM fait partie du même secteur. Un signe ?

Bon comme des milliers de personnes, l’entreprise de mes rêves, c’est Google, (et l’Oréal bien sûr), mais je ne cracherai pas sur celle aux 3 lettres.

Et j’ai beau vouloir me le cacher, c’est un peu lui qui me l’a transmise sa passion. Vivre 4 ans avec un gros geek, ça ne laisse pas indemne, surtout quand c’est un geek intelligent et avec un minimum d’ambitions.

Puis autant que je m’en souvienne, j’ai toujours choisi des options qui de près ou de loin, se rapportait à l’informatique, aux SI.

Et d’une certaine façon, je kifferai tellement mieux réussir dans ce milieu que lui ! Quand je vois le stage qu’il fait actuellement, je me dis qu’il est assez loin de ces « expectations » d’il y a quelques années. Et oui, au fond, ça me fait bien plaisir.

Et puis même si y’a d’autres raisons qui m’ont poussées à finir mes études en intégrant ce master, je dois dire que sa spécialité n’y est pas non plus pour rien. C’est fou mais moi les SI, ça me parle tellement plus que l’éco-responsabilité RH ou des trucs du genre…

Oui les SI ça me plaît et je kifferai tellement bosser dans une entreprise de ce secteur. Et aujourd’hui où plus rien, et surtout plus personne ne m’empêche de faire ce que je veux, je me dis même que d’ici quelques années, je reprendrai peut-être mes études et prendrai ma revanche sur cette école aixoise. Parce que même si tenir un blog, deux voire trois, c’est ultra easy, ça montre bien un minimum d’intérêt pour la matière, non ?

Et puis le plus de cette journée, outre d’être entrée dans l’un des temples de la Haute Technologie, c’était de rencontrer cette femme. Même si aujourd’hui ça paraît stupide de faire remarquer des détails comme celui-ci, n’empêche qu’une femme, dans une boîte de ce genre, et à un poste de ce niveau, c’est rare !  Et ce qui est encore plus rare, c’est que la PDG d’IBM soit une femme. Et moi, ça peut paraître naïf, mais c’est des choses qui ont leur importance. Et si je peux choisir une entreprise dans laquelle les femmes ont leur chance, je serai la plus heureuse. Bon j’avoue je n’ai pas réellement compris en quoi consiste le job que nous avons rencontrée hier, quelles sont les tâches qui lui incombent mais elle avait l’air passionnée et à son âge, j’aimerais l’être toujours autant pour ce domaine qui m’en fait déjà pas mal baver et qui ne cesse de me faire me remettre en question.

Et j’ai réfléchi à une autre option pour mon avenir et l’année qui arrive. Une option qui me permettrait d’être plus en cohérence avec mes projets de toujours, effectuer une VIE et pourquoi pas pour IBM, qui sait ?!

Par où commencer ? Ou simplement finir !

Le temps passe et le nombre d’histoires que j’ai à vous raconter s’accumulent. Je dirais même qu’elles s’empilent et du coup je ne sais plus trop par laquelle de ces histoires commencer.

Alors bien sûr je pourrai aller à la facilité en vous parlant une fois de plus de cul, ou de cette relation dans laquelle j’hésite à me lancer.

Je pourrais aussi juste vous parler de mon quotidien professionnel, du boulot quoi ou de cette famille écrasante…

Ou tout simplement, oublier toutes ces choses que je voulais vous écrire il y a déjà plusieurs semaines. Si je vous parlais plutôt d’aujourd’hui, de ce covoiturage super enrichissant ? Ou de ces amitiés qui vous déçoivent chaque jour un peu plus, et celles auxquelles vous devriez porter plus d’attention ?!

Et que je le veuille où non, il faudra que je vous raconte (en détail), ce qui s’est passé ce fameux mercredi de février. Cette chose dont je ne suis pas très fière mais qui m’a finalement fait aucun des effets que j’attendais. Oui c’est sûr, ça, il faudra que je vous en parle.

Est-ce que vous croyez qu’un jour j’aurai le temps de le créer ce nouveau blog ? Voilà bientôt un an que ce blog existe, bientôt un an que j’étale ma vie ici. Est-ce que ça m’aide ? Je crois bien que oui, mais je crois surtout que ça va tout simplement mieux parce que c’est ainsi, le temps guérit les blessures, même les plus profondes !

Ces choses que je ferai quand je serai au chômage

Voilà quelques années que quand je n’ai pas assez de temps pour faire des choses dont j’ai envie, j’ai la fâcheuse habitude de dire « j’aurai tout le temps pour ça quand je serai au chômage ». Ne pensez pas que pointer à Pôle Emploi soit un but pour moi, pas du tout. C’est juste qu’avec le contexte économique actuel, l’état du marché du travail, mon secteur et niveau d’études me laissent quand même penser qu’à un moment ou un autre, je ne pourrai pas y échapper, et ça dès septembre prochain.

Du coup, j’ai pour ambition de profiter de cette période de recherche active pour faire aussi autre chose de mes journées, comme me (re)mettre à la couture et enfin utiliser ma chère machine à coudre qui traîne dans mon placard depuis plusieurs siècles ou bien m’inscrire dans une association et faire du bénévolat, voir même un service civique.

J’en profiterai bien sûr pour aller voir mes potes en Thaïlande. Oui je sais on reçoit pas l’allocation chômage pour partir en vacances mais si je le fais pas maintenant, je le ferai quand ?! Le problème c’est justement qu’au chômage, j’aurai moins d’argent pour le faire, mais plus de temps… Je lirai aussi tous ces livres  que j’ai acheté il y a plus ou moins longtemps et qui ornent mes étagères, j’irai voir toutes ces expos et tous ces films que je rate.

Je me mettrai enfin à jour dans toutes les séries que je regarde ou voudrais regarder avant ma mort et pourrai peut-être enfin créer ce blog que j’ai envie de commencer depuis quelques temps. J’en profiterai aussi pour faire quelques autres trucs comme repeindre ou jardiner ^^.

Bon non être au chômage n’est pas mon objectif mais je dirai pas non à 2 ou 3 mois de répit parce que mine de rien, 5 ans d’études quasiment non stop, et le rythme de l’alternance, ça mine un peu. Et pourtant, comme en amour, je sais que ça ne va pas se passer ainsi. J’vous explique. En amour je suis attirée par les mecs un peu bronzé, avec des origines un peu exotiques, et pourtant je suis sûre que je finirai mariée à un blond aux yeux bleus. Ben là pareil, je suis presque sûre qu’au final je ne l’aurai jamais ce laps de temps pour faire toutes ces choses. Soit ça voudra dire que j’aurai beaucoup de chance, soit que je n’aurais pas le choix et que je prendrai n’importe quel boulot, même un qui ne correspond ni à mes attentes, ni à ma qualification…

L’avenir nous le dira.

1 de perdu, 10 de retrouvés

Ce soir je prends un peu de temps sur ma journée de fou pour vous (et me) faire un petit point sur ma vie, et surtout sur ma vie amoureuse. Faut dire que quand j’ai les idées  pas trop claires, ça m’aide pas mal de poser les idées par écrit, pour remettre de l’ordre dans ma tête.

Bon dans le dernier épisode, je vous disiez que Roméo n’avait pas fait long feu dans ma vie mais qu’il me manquait.

Me voilà donc partie à la quête de nouveautés pour me changer les idées, et me permettre de l’oublier. C’était sans compter sur mon fabuleux destin, qui m’a une fois de plus bien servi. En 3 jours, j’ai été bizarrement confronté à l’apparition de revenants.  Je vous explique tout de suite.

Je crois que ça a commencé par ce fameux date qui était au départ dans la balance avec le fameux Roméo. Monsieur est revenu comme une fleur, ce fût bref mais ça aura  eu le mérite de me faire sourire. La façon dont un mec peut réussir à ne surtout pas se remettre en question me fascinera toujours je crois.

Ensuite, il y a eu ce garçon avec qui je parle de temps en temps depuis des mois mais avec qui il ne se passera jamais rien car ce n’est juste pas possible,

Puis, le numéro 3 de ces revenants est mon cher camarade de covoiturage qui a choisi le moment idéal pour reprendre contact. Alors non je n’ai toujours pas eu droit à une dégustation de mafé mais du coup on s’échange nos expériences en termes de relations amoureuses et on se conseille l’un et l’autre.

Sans doute l’une des plus grosse surprise, mon fantasme, le retour. Oui, vous savez, celui qui me propose le plan cul du siècle en mettant un pied dans la folle expérience de l’adultère (pas cool je sais). Et oui lui aussi a choisi la semaine dernière pour repointer le bout de son nez après plus d’un mois sans nouvelles (comme je le lui avais gentiment conseillé). Je vous reparlerai de son cas bien vite.

Puis deuxième surprise, mais qui me plaît un peu moins, c’est ce vieil ami de lycée, que je n’avais pas vu depuis un an, qui m’a avoué il y a quelques jours qu’il souhaiterait qu’on parle en tête à tête, il a des choses qu’il garde depuis des années à me dire. Certes j’ai été amoureuse de lui il y a quelques années mais je suis passée à autre chose depuis… On se voit demain, je vous en dirai plus.

 Et malgré tout ça, j’ai quand même réussi à une fois de plus mettre ma fierté, mon honneur et mon amour propre de côté pour quelqu’un qui ne le mérite certainement pas. Parce qu’en fait pour moi en amour il ne faut pas tenir compte de ces choses là si on veut être heureux sauf qu’il faut quand même un minimum que ça vaille la peine…

Et après tout, maintenant je me dis que ce dont j’ai réellement besoin, ce n’est pas d’une relation amoureuse, ce n’est pas d’un mec. En fait, le problème c’est juste que je ne suis pas vraiment faite pour la solitude. Puis faut dire que ma vie pro me passionne tellement en ce moment, que si je ne trouve pas un exutoire, je vais clairement péter une durite. C’est pour ça que je cherche sans cesse à occuper mes week-ends, mes soirées. Bon bien sûr parmi tout ça, il y a bien une petite place pour des parties de jambes en l’air avec ce cher fantasme. Autant l’avouer, je pense que celui-ci passera prochainement du stade de fantasme à celui de sex-friend, ce qui me promet bien des malheurs mais bon…

Je sais que ça risque d’en vexer certaines mais ce n’est pas le but, en fait ce n’est pas d’un homme dont j’ai besoin, juste d’un cercle d’amis encore plus large. Des amis célibataires, qui aiment danser, boire parfois et avec qui je pourrai me remettre dans la peau de cette jeune fille de bientôt 23 ans que je suis. Parce qu’avant je ne sortais pas parce que ça ne m’intéressait pas vraiment, j’avais ma vie de couple et ça m’allait. Aujourd’hui je suis (enfin) libre, et je n’en profite même pas, quel gâchis ! C’est bête mais depuis mon semestre en Erasmus où j’ai fatalement dû profiter à fond de chaque instant, je trouve juste triste de passer mes vendredis et samedis soirs seule devant ma télé… Ce n’est pas ce que je veux, alors à moi de faire en sorte que cela s’arrête et vite fait ! Et si j’y parviens sans tomber dans les bras du premier abruti inconnu venu, ce sera une mini victoire.

PS : Bon je vous ai un peu menti dans le titre, y’en a pas 10 mais bon y’en a tout de même assez pour regonfler mon ego souvent en berne vu tout ce que je lui fais subir.

Pourquoi ça fait si mal ?

A lire les 2 ou 3 articles précédents, j’avoue qu’on peut se demander pourquoi je suis quand même triste, pourquoi j’ai quand même un peu mal.

Oui c’est moi qui suis partie. Oui il allait un peu à l’encontre de tous mes principes mais oui je m’étais attachée.

En un mois de discussion, je me suis livrée, et je crois que lui aussi vu certaines choses qu’il m’a dites. Et j’adorais tellement parler avec lui, ces soirées passées au téléphone où il me racontait son travail, sa passion, sa famille… Et la façon dont il avait de m’inclure un jour dedans. Même si ça me faisait flipper, au fond j’en avais un peu envie. Retrouver une relation comme ça, une sorte de fusion et une belle-famille.

Je nous imaginais tellement tous les deux, lui aux commandes d’un petit avion, nous amenant en Corse, là juste parce qu’on l’avait décidé le matin même.

Et d’un autre côté j’aimerais tout recommencer à zéro, parce qu’au fond ce que je lui reproche en partie, c’est de ne pas avoir été le même au téléphone et en réalité. Et à vrai dire, moi aussi je n’étais pas la même. Tellement méfiante que je n’étais pas vraiment moi. Tellement en train d’analyser chaque fait et geste que j’oubliais d’être la fille enjouée et spontanée que je suis souvent. Et ce n’est pas la première fois que je fais ce constat. Voilà bien longtemps que je ne suis plus vraiment moi avec un mec parce que trop peur, peur à la fois de le faire fuir avec ma personnalité bien trempée, mais aussi de trop me dévoiler et de finir par sombrer, encore.

Enfin bon, même si ça fait un peu mal, même si ça fait un bon petit pincement au coeur, il a réussi à me faire rêver et c’est déjà pas mal. Mais bon ça me passera hein mais je pense que les prochains jours, j’aurais encore un peu moins de motivation à me lever le matin.

Et comme toujours en amour je n’ai pas de fierté, je me suis encore tapée l’affiche en lui envoyant des messages. Comme si au fond j’avais besoin qu’une situation en ma faveur se retourne contre moi, et que la largueuse devienne la larguée. This is the story of my life.

Et c’est le moment ou jamais de dire cette fameuse phrase : « Oh Roméo, pourquoi es-tu Roméo? »

Et si tout simplement j’arrêtais

Si tout simplement j’arrêtais de me faire du mal ? A quoi bon commencer une histoire, voir des sentiments apparaître pour nada, que dalle.

Une fois de plus, j’ai foncé, un peu à reculons quand même et puis voilà, 6 jours après notre premier rendez-vous, c’est fini. Fini parce qu’une fois de plus il n’était visiblement pas ce que je recherchais. Et comme souvent ces derniers temps je viens à me demander si tous ces critères que je recherche chez un homme, existent vraiment.

Je sais ce qu’on va me dire, les « T’es jeune » par ci, « T’as le temps par là » ou encore les « Tu te précipites trop »… C’est pas faux mais ça n’empêche que quelque soit l’âge qu’on a, on a le droit de vouloir aimer et être aimé !

Bon pour remettre les choses dans leur contexte, je parle de celui qu’autre fois j’appelais Roméo. L’autre on l’oublie, il était bidon de chez bidon.

Roméo lui a fait battre mon coeur, il a réussi à me faire y croire puis… Puis nous n’avions visiblement pas les mêmes idées, les mêmes perceptions de la vie de couple, d’une relation sérieuse, etc… En théorie, j’étais d’accord avec sa règle des 4C, le premier c’est que visiblement le C le plus important pour lui était le Cul, ce qui de mon point de vue, metais en péril un autre des C, la confiance. Du coup d’après lui ça rendait la chaise bancale.

Il savait très bien qu’il n’avait pas encore gagné ma confiance et pour moi hier était une occasion pour lui de me montrer qu’il la méritait. Personnellement je n’attendais qu’une chose, qu’il me prenne dans ses bras, me rassure et qui sait, il aurait peut-être même obtenu ce qu’il voulait de cette façon là. C’est symbolique parce qu’en réalité ce n’est pas ça qui aurait vraiment permis d’être sûre qu’il était de confiance, mais au moins j’aurai eu l’impression qu’il l’était. Là, au plus les heures passées, au plus je me disais que je n’étais qu’un putain de plan cul pour lui et qu’en plus, lui qui disait être un pro de la prise en compte du bien-être de l’autre, n’a à aucun moment demandé de quoi j’avais envie, ce que je voulais moi, sa chérie comme il m’appelait. Et moi, s’il y a bien un moment  où l’un des autres C est primordial, c’est bien au lit… Communiquer pour faire plaisir à l’autre, voilà ma recette.

Même si ce matin ma décision était quasiment prise, pendant quelques minutes il a presque réussi à me convaincre qu’il pouvait aussi être tendre, juste comme ça, sans forcément essayer de me sauter. Puis non… Au bout de la 3ème fois j’ai pris mes clics et mes clacs pour la millième fois de ma vie. Je me suis rhabillée (je commence à en avoir l’habitude) et je l’ai planté là, avec son caleçon en bas des chevilles. Vous me direz qu’il aurait sans doute mieux valu en parler plutôt que m’enfuir comme ça. Certes mais quand le même sujet revient 20 fois sur la table et que rien ne change, je préfère prendre les devants et m’éviter des mois de chagrin. Je suis pas en train de dire que je ne ressens rien là, contrairement à d’autres fois, j’ai un peu mal, mais je sais que ça passera. Là oui j’ai le coeur gros, les yeux un peu larmoyant mais non je crois qu’on était pas fait l’un pour l’autre. Quand je dis ça je parle même pas de toute  une vie, juste que je crois qu’une relation n’aurait pas été possible, aussi courte qu’elle soit.

En fait je n’ai pas l’impression d’avoir rencontré la même personne que celle à qui je parlais tous ces jours. J’ai surement dû l’idéaliser.

Et si je suis partie aujourd’hui, c’est parce qu’au plus j’aurais attendu, au plus on se serait attaché, en supposant que lui ce soit attaché un minimum… Puis, pour l’avoir vu à l’oeuvre, je suis vraiment pas sûre que j’aurais réussi un jour à lui donner cette putain de confiance.

Et pourtant, pourtant là je suis tellement triste qu’une fois de plus ça ne se soit pas passé comme je le voulais, tellement perdue parce que  finit les SMS, finit les appels le soir… Que là tout de suite je ne voudrais qu’une chose, qu’il m’appelle pour me dire qu’il a compris et qu’il veut qu’on reparte à zéro. Je sais que ça n’arrivera pas, il m’a d’ailleurs déjà supprimé de Facebook. Pour quelqu’un qui tenait à moi et qui se voyait peut-être faire toute sa vie avec moi… Et puis lui, contrairement à moi, il a de l’honneur et de la fierté, pas comme moi… C’est pour ça que je vais de ce pas supprimer son numéro, ces messages enflammés et tutti quanti histoire de ne pas avoir une occasion de plus de me ridiculiser. Je vais surtout essayer d’oublier toutes ces promesses, et toutes ces choses que j’avais imaginé avec lui.

Et me voilà maintenant avec 2 boîtes de capotes neuves, à sa taille… Je me bénis quand même de ne pas lui avoir acheté de cadeau de Saint Valentin trop à l’avance.

Et feu Roméo, si par hasard tu repasses par là, merci pour ces quelques semaines de discussion et de complicité (le 4ème C), je t’appréciais vraiment. (écrit-elle les yeux humides)

Allez on arrête les dégâts, je préfère mourir entourée de chats que de continuer à vivre ça.

Less Latex, More Sex

Une fois de plus je regrette cette jeune fille, cette ado que j’étais à 16 ans. Celle qu’avait des idées bien arrêtées et qui n’y aurait renoncées pour rien au monde.

Et pourtant me voilà encore dans cette situation que je déteste. Cette situation à laquelle j’ai pensé il y a à peine quelques jours et que je me suis jurée de plus jamais revivre…

Et puis voilà, au détour d’une conversation, là, sans que je m’y attende, mon pressentiment devient réalité…

Voilà, depuis un peu plus d’un an maintenant je me suis retrouvée dans cette situation angoissante, cette situation dans laquelle, moi, Lu, je n’aurai jamais, mais vraiment jamais pensé me retrouver. Vous savez, ce moment où vous avez sans doute l’une des plus grosses angoisses de votre vie, ce moment où vous savez que là, à ce moment même votre vie peut basculer pour toujours, ce moment où vous avez besoin de lire noir sur blanc écrit que non, non vous n’avez pas cette putain de maladie.

Surement la pire, mais oui vous avez compris de laquelle je parle. Celle qui s’attrape surement de la façon la plus douce, la plus belle, la plus enivrante…

Et moi qui a 16 ans étais sûre de ne jamais, je dis bien au grand jamais, accepter de coucher avec un mec sans préservatif, et tout ça sans dépistage bien sûr. C’est limite si je ne pensais pas utiliser des capotes jusqu’à mon désir de maternité. Puis, mon premier amour a débarqué et les choses se sont faites naturellement. A l’époque, j’ai eu la chance de tomber sur un mec bien et intelligent. Pour lui aussi la capote était une évidence, et il n’a pas hésité une seconde à faire le test. Entre nous, c’était vraiment pour la forme, on était vierges tous les deux donc bon, le risque était vraiment minimum.

Et le jour où on a décidé d’arrêter tout ça, ce fût une étape. Ce fût comme une deuxième première fois. Ce fût spécial. Et pour moi, c’est une étape qui ne se passe pas avec n’importe qui.

Puis il y eut cette fois, cette fois où mon désir a eu raison de moi et de mes idées. Ce jour où il m’a dit qu’il n’aimait pas les préservatifs et où on l’a quand même fait…

Et je ne vous dit pas comme j’ai regretté ça. Bon ok je le connaissais assez bien, je connaissais ses ex mais n’empêche que je l’ai regretté comme jamais. J’ai quand même réussi à le traîner jusqu’à un centre de dépistage. Quel soulagement de savoir que nous étions tous les deux en bonne santé.

Et depuis ce jour, depuis ce jour je me suis dit que je ne ferai plus cette erreur. D’abord parce qu’on le connait jamais vraiment au début, puis parce qu’en plus même si je sais que pour pas mal de mecs, la capote est synonyme de moins de plaisir, pour moi c’est un confort. Un confort qu’ils ne peuvent pas comprendre. Je ne sais pas comment dire ça « proprement », donc je vous laisse imaginer de quoi je parle. N’empêche que moi j’apprécie ce que je vais appeler l’après-acte sexuel quand on utilise une capote.

©http://ulfablabla.free.fr/index.php?2006/09/14/218-note-capote-4

Voilà. Si je vous parle de ça aujourd’hui c’est juste que pour la deuxième fois je me retrouve confronté à cette situation. A un réfractaire et ça me saoule. Et malgré tous les tests qu’on veut (qui sont en plus fiables à 100% qu’après 3 mois), pour moi ça reste symbolique. Et ça peut paraître égoïste pour les mecs qu’une fille tienne absolument à utiliser une capote, mais je trouve personnellement encore plus égoïste de refuser d’en porter… Surtout qu’entre nous, avec les milliers de gammes qui existent, il y a bien de quoi trouver son bonheur.

Et avec le recul, pour moi c’était tellement évident que je ne pensais même pas être un jour confronté à ce problème. Et je suis vraiment contente que mon premier amour ait partagé mon point de vue à ce sujet. Dommage que ce ne sois pas le cas de tous, et dommage que j’ai aujourd’hui moins de couilles qu’à cet âge là. Je crois que c’est surtout qu’avant je ne savais pas ce que c’était le plaisir, le désir, etc… et du coup, c’était bien plus simple d’y résister.

Pauvre de moi.

Bélier ascendant Lion

Est-ce définitif ? Est-ce que c’est pour la vie que je vais faire d’une situation simple et posée, une somme de situations compliquées? Toujours à foncer sans réfléchir, toujours à faire des plans sur la comète pour au final, toujours me retrouver piégée. Piégée par ? Par moi bien sûr !

Vous n’en doutez pas, il est bien sûr encore une fois question de mecs et de ces putains de sites de rencontres.

Lors de mes dernières visites sur ces sites, j’ai discuté avec un gars qui une fois de plus semblait un peu différent des autres. Un gars qui a voyagé, qui a fait des études, qui a su apprécier les goûts musicaux indiqués sur ma fiche, un gars qui sait ce qu’est un musée. Un peu le mec idéal sur le papier quoi.

Puis mon ex est revenu à la charge, et j’y ai cru, puis plus. Du coup j’ai fait un peu plus connaissances avec ce garçon mais sans pouvoir le rencontrer avant mon départ pour Montpellier. On parlait quand même de temps en temps mais rien de plus.

Puis il y a eu lui. Lui qu’on appellera Roméo, surnom qui lui va à merveille mais dont je vous expliquerai pas l’origine ^^. Ce Roméo que je ne connais ni d’Eve, ni d’Adam m’ajoute sur Facebook. Je suis toujours méfiante en général mais j’accepte, quitte à supprimer par la suite. On discute vite fait. Il a l’air sympa mais je suis pas forcément intéressée vu que j’ai déjà quelqu’un en tête.

On continue à discuter et on apprend à se connaître. Il me trouve apparemment jolie, c’est toujours bon à prendre.

Puis l’autre garçon, celui que j’avais très envie de rencontrer va gentiment me faire comprendre que parler avec une fille qui n’habite pas la même ville, ça l’intéresse pas. Il me dit qu’il préfère qu’on se parle plus pour le moment et qu’on verra à mon retour s’il est toujours célibataire. Très déçue même si je peux plus ou moins comprendre son opinion, je garde espoir, en essayant de pas me faire de faux espoirs. En parallèle, et allez savoir pour quoi, je lui achète un livre. Un livre qui je sais lui plaira. Mais à quoi bon ? A quoi bon, quand on est même pas sûre de le rencontrer un jour ? Je ne sais pas…

Je continue à papoter avec Roméo et on devient vraiment proche. Puis petit à petit on s’attache un peu l’un à l’autre.

Par acquis de conscience, je propose un RDV au gars si parfait, histoire de dire que j’aurai quand même tenté ma chance. Je pars ultra défaitiste et me demande ce que je vais bien pouvoir faire de ce livre que je comptais lui offrir. Et là, après 1 ou 2 jours d’attente de sa réponse, le jeune homme accepte mon date fixé au vendredi soir prochain. Oh joie, quelle surprise.

Et comme je suis bien connue pour ne jamais courir qu’un seul lièvre à la fois, le même jour, j’avais fixé une rencontre avec le fameux Roméo. Me voilà avec un RDV le vendredi midi, et un le vendredi soir. Fucking Life !

Et comme je me suis promise de vraiment réfléchir à l’ordre dans lequel j’effectuerai mes prochains rdv, j’ai décidé d’attendre de mettre faite une opinion sur le premier garçon, avant de pouvoir rencontre Roméo ! Pourquoi ? Parce que comme je me connais, je suis capable de penser à l’autre après m’être lancée dans une histoire avec Roméo. Et même si ce dernier correspond finalement plus à mes attentes que ce que je croyais, l’autre mec a quelques points d’avance. Ce qui est totalement injuste vu qu’au final je le connais moins bien que Roméo. Roméo dont, avouons-le nous, je suis à deux doigts d’être amoureuse. Oui oui sans l’avoir rencontré…

Mais putain quoi, à bientôt 23 ans, il serait peut-être temps qu’on m’enlève le végétable que j’ai à la place du coeur, pour y mettre un vrai organe, non ? 

S’il vous plaît faites que le mec parfait ne me convienne pas du tout et qu’il me trouve dégueulasse, ça faciliterait bien ma vie. Merci !

Un jour peut-être j’arrêterai de foncer dans le tas sans réfléchir aux conséquences. Peut-être qu’un jour j’arrêterai d’écouter ce putain d’artichaut qui me sert de coeur. Mais je vous promets les copines, et les autres ^^, je ne fais pas exprès. Je me mets pas dans des merdes pareilles juste pour avoir quelque chose à vous raconter. C’est dans mes gènes, c’est tout… Au fond, je dois vraiment aimer la complexité.

« Les règles du jeu ont changé »

Non non je vous rassure je n’ai pas été embauchée par Meetic, quoiqu’il y a peu de temps j’ai vu passé une offre d’emploi dans mon domaine ^^. Je reprends juste aujourd’hui le slogan du fameux site de rencontres pour vous parler de ces constats que je fais tous les jours.

Personnellement avant je trouvais les garçons sages lors des premiers instants, des premières discussions. A vrai dire, à 16 – 17 ans, c’était plutôt moi qu’étais déchaînée, moi qui posais des questions un peu indiscrètes.

Aujourd’hui il suffit de 3 mots échangés sur les chats de ces tonnes de sites de rencontres pour se voir proposer un RDV pour les plus sages, voire une partie de jambes en l’air.

Si le mec te plaît un peu, tu lui donnes assez rapidement ton numéro, historie de faciliter la communication et là, là viens le fléau !

Le fléau de la demande de photo. Il y a bien sûr les audacieux qui vont directement t’en demander une en maillot ou sous-vêtements puis y’a ceux qui commencent plus doucement et qui te demande juste une photo de toi.

Généralement c’est à ce moment là que je commence à m’énerver et à lui dire qu’il ne vaut pas mieux que les autres. Tu crois lui avoir coupé le sifflet pour un petit moment, puis t’aperçois finalement que cette idée de photo ne sortira pas de sa tête. Il la jouera fourbe et t’enverra une photo de lui, histoire d’avoir une monnaie d’échange contre la tienne…

Que j’aime ces mecs qui écrivent sur leurs profils que ce n’est pas le physique qui compte… Et que j’aime ces mecs naïfs qui te prennent pour Pamela Anderson (à l’époque d’Alerte à Malibu bien sûr) en ayant vu seulement 3 photos de toi. Alors non j’utilise pas Photoshop mais mec, tu crois vraiment que je mettrais sur mon profil, les fameuses photos de fin de soirée ?! Rien ne vaut un face à face mais pour pas passer pour un crevard, faites moi plaisir, attendez le minimum syndical  avant d’inviter la fille à boire un coup ou pire, à passer la soirée chez vous. Demandez un peu à votre père comment il a choppé votre mère et peut-être que ça marchera mieux avec les meufs.

Post du soir, bonsoir !